Le problème ne se laisse décidemment pas cerner. Chaque fois que j'essaie d'attraper la Question, celle-ci se défend. Elle s'échappe et s'écoule hors de mes doigts, ô sable indéfini. Que la Question ne questionne pas, cela surprend en un sens. Qu'elle ne se laisse pas questionner, c'est ce qui donne plus d'émoi. Émoi, émoi, et moi je n'ai rien que ce vide à quoi me raccrocher : lequel ? l'absence de la Question
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