qui nous guide dans le labyrinthe mental des formes idéelles. Qu'il soit donc nécessaire de se promener n'est pas niable. On doit se demander si tout parcours n'est pas prétexte —— ou matière —— à promenade. Et dans ce cas, ce qu'il y a lieu d'en conclure.
Une fois de plus, ma conclusion ne conclut pas, de ne pas conclure tout de suite. Car il faut toujours préserver la part de l'instant.