Il a posé le temps et l'espace, juste, et il s'est demandé où loger la volonté humaine. Et il n'a pas trouvé. Et ceux qui se sont efforcés de sonder les abîmes de l'Être n'ont pas su trouver la place de la volonté, parce qu'ils marchaient sur les pas de ce physicien, le premier. Mais plutôt que de conclure à l'absence de volonté pour cette raison, il fallait plutôt partir de l'évidence de la volonté, et en déduire que les travaux du premier physicien étaient incomplets.