Par la suite, aux élans de tes nuits, tu te redemandais où tout cela menait, et si cela n'était pas pure folie. Il fallait bien évidemment que la réponse fût positive, mais cela nécessairement ne prouvait déjà plus. Cela ne prouvait déjà plus. Passaient les nuits sans sommeil où l'on se demandait si ce qui advenait devait nécessairement advenir tel, et où l'on concluait invariablement que oui. Alors, tu savais que tu adhérais à ce qui fait ce « parce que », et à l'Épreuve du Temps.