traité de la vie et de son insupportable épaisseur —— III, 2 [home] [index] [personnages] [actions] [e-mail] ~ [help]



Ce serait, en un mot, le Grand Repos de l'univers, univers certes entendu par l'artifice du sujet humain, mais Grand Repos quand même, après-midi qui n'a jamais de fin des ceusses qui cesseraient par là-même d'aller chercher derrière les êtres de quoi combler leur incomplétude métaphysique.   On s'offrirait sans préméditation le luxe de ne pas chercher.   Mais aussi bien, tout serait déjà trouvé.   Peut-on croire à une telle histoire ?   Bien entendu, le problème laisse paraître qu'il n'en peut rien être, qu'il est nécessaire qu'il y ait une recherche, puisqu'il y a.   Formulé de manière concise : là où un monde est donné, il faut qu'il y ait souffrance.

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