En ce temps-là, une élite qui navrait son populo de la valeur-travail tendue à nos basques comme un surplus de vie augmentée, une de ces innombrables solutions-spectacles dont, déjà, nous ne voulions plus. [Oh, j'ai dit « nous » : j'espère qu'on me le pardonnera ! Car c'est en ce nom de « moi » que je suis voué à parler... et c'est faute de goût que de s'agglutiner à un groupe, même dans la fierté ou dans la furie...] Mais en ce temps-là, également, des hommes et des femmes qui, un peu partout, se dressaient debout, acquis à l'idée que l'avenir était là au fin fond du fond mais souriant, puisqu'ils s'adressait de chacun à ce qu'il avait de meilleur... Des humains qui posaient la Question ! —— L'humain qui pose la Question n'est pas forcément un savant ou un érudit, ce peut être le plus humble des laissés pour compte, mais il a de bonnes raisons d'être fier de cette noble activité par laquelle il se construit. —— Il est attentif à tout ce qui peut aliéner l'humain, je ne dis pas qu'il en est spécialiste, je dis par contre qu'il a su oser la sensibilité. —— Il ne massacre pas les fleurs, et cependant, il n'est pas « fleur-bleue »; il a acquis le territoire d'où tout respect peut être possible, y compris même celui des choses infimes ou insensées. —— Peut-être n'étudie-t-il pas encore pleinement, mais cela viendra, dès qu'il aura augmenté ce qu'il a déjà réussi à se créer, héroïquement, de temps de libre. —— Il est confiant. —— Il aime.