Il tient en réserve les plaisirs interdits, et c'est lui qui crée tous les délices indignes de l'homme supérieur. Nous savons bien à quoi nous en tenir ! Mais donc, qu'il s'y essaie ! Le craignons-nous ? Ou bien pas plutôt, n'est-ce pas que nous n'avons rien à redouter de lui, que, essentiellement, perdu qu'il est, il ne peut atteindre plus loin que la sotte ère dans laquelle il se produit ? Alors, qu'il s'y déploie, et même qu'il y redouble, puisque de toute manière, son existence est bornée, déjà condamnée, qu'il disparaîtra à la fin des temps ! Son temps lui est compté, il ne peut aller au-delà de ce qui lui est prescrit ! Toutes choses étant égales par ailleurs, il est une quantité qui ne peut pas porter préjudice au Saint !