l objet ki depasse

L home des liberter infinitesimales rencontra le rectificateur des brins d herbe.  « Ce kaillou n est pas a sa plasse, lui dit se dernier. »  En efet, chak etre a son lit assigner dans se grand dortoir.  « Deplassez-le donc, lui dit l home des liberter infinitesimales.  —— Je ne le peus.  —— Pourkoi donc ?  —— Ce kaillou doit denoncer le desordre.  Sa plasse est 2 ne pas etre a sa plasse. »  

O toi ki cherches l ordonanceman ideal !  Sache ke l objet paradoxal se deplasse sans fin o sein des etres.  Tout paradoxe a son Ahasverus

	Ahasverus est le nom du Juif erant, se Juif ki, d apres la legende, est kondamner a erer eternellement kar il a refuser 2 porter assistance o Krussifier. Ici, Ahasverus signifie simplement 1 objet ki n a 2 cesse 2 se deplasser, kar nule part il n est a sa plasse.     Koi !  Cette note serait-elle antisemite ??!!        / Mais non !  Je raporte fidelement 1 ancien mithe.  C est 1 chose 2 dire se en koi les gens kroie+, c en est 1 autre ke 2 partager leur kroiance.

, a ki rien ne sufit, ni pardon, ni faisceau

	Baudelaire, dans le poeme intituler Le voyage, ekrit c vers : Comme le Juif errant et comme les apôtres, À qui rien ne suffit, ni wagon ni vaisseau, Je done issi l integraliter du poeme 2 Baudelaire : [LIEN].

.  Si l uniformiter 2 la nature est utile, c est en se k elle laisse paraitre le detail ki achope, l objet ki depasse.  La manifestation 2 se dernier est dans sa chute.  

1 arpenteur des strier n avait pas encore pris konscience 2 se fait lorsk un jour, o hazar d une erance, il vit 1 ruine imposante.  Il s agissait, o milieu d un chantier 2 demolition, d un kadavre d escalier.  La chose etait koucher sur le sol.  Ses spirales dardai+ l infini.  Ses marches etai+ 1 moteur, ses rampes etai+ des ekoutilles

	L escalier en kestion, demis 2 ses fonctions, est le sujet d une epiphanie.  On trouve deja 2 telles epiphanies dans la grande poesie.  Par exemple, c est en voyant 1 cheval ke Tristan Tzara vit 1 jour la solitude          LE CHEVAL     C'est vrai que je croyais en la ferveur immense de vivre.  Chaque pas amplifiait en moi de vieilles mais toujours mouvantes adorations.  Ce pouvait être un arbre, la nuit, c'étaient des forêts de routes, ou le ciel et sa vie tourmentée, à coup sûr le soleil.     Un jour je vis la solitude.  Au faîte d'un monticule, un cheval, un seul, immobile, était planté dans un univers arrêté.  Ainsi mon amour, suspendu dans le temps, ramassait en un moment sur lui-même sa mémoire pétrifiée.  La vie et la mort se complétaient, toutes portes ouvertes aux prolongements possibles.  Pour une fois, sans partager le sens des choses, j'ai vu.  J'ai isolé ma vision, l'élargissant jusqu'à l'infinie pénétration de ses frontières.  Je laissais à plus tard le soin de voir ce qu'on allait voir.  Mais qui saurait affirmer que les promesses ont été tenues ?   .    L epiphanie peut tout aussi b1 prosseder par 1 mank aparent, & c est meme 1 des karacteristikes 2 la Kestion k elle en viendra a jour a etre traiter selon les modes 2 « tout-ce-k elle-n est-pas »      Kom peut l evoker d une certaine maniere se poeme 2 Piere Reverdy :         NOMADE           La porte qui ne s'ouvre pas     La main qui passe                   Au loin un verre qui se casse         La lampe fume     Les étincelles qui s'allument             Le ciel est plus noir                 Sur les toits Quelques animaux Sans leur ombre                    Un regard                Une tache sombre La maison où l'on n'entre pas .

.  C est la ke l arpenteur komprit l efet 2 kontexte.

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