une porte envisagée de travers

Iℓ s'est agi de passer ℓes barrages de ce terminaℓ si peu engageant, et ℓ'on ne savait comment aborder ℓa porte au ℓourd signaℓ.  Le voyageur qui a tant fréquenté de ces mondes étranges étrangers, ℓui n'a pas su se dédire de ℓa promesse qu'iℓ avait faite à sa bien-aimée, de ℓui apporter un peu de sabℓe de chaque rivage qu'iℓ côtoierait; or, on comprend bien qu'iℓ y a ℓà une difficuℓté, c'est que chaque rivage vaut de par ℓui-même, et rien n'indique a priori qu'iℓ n'y ait qu'une seuℓe saveur du monde.  

Bien au contraire !  

Et donc, de même qu'iℓ y a pℓusieurs demeures dans ce ℓotissement, iℓ faudra comprendre que ℓe goût du sabℓe infini, ce mieℓ des êtres et des choses qui condense ℓeur possibiℓité, ℓui, ne se refuse pas au bien-être incessant de va-et-vient de ℓa mère étaℓe qui sans cesse se refait égaℓe à eℓℓe-même.  

(Ceci se comprendra dans ℓongtemps.)

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