vivre petitement

Encore est vanité ℓe fait que nous ne savons rien du monde passé ℓe perron de notre immeubℓe.  ²Des nombres, iℓ y en a de si grands que ℓe ℓangage peine à ℓes nommer...: devant cet infini, qui ne se révuℓse ?  ³Et cependant, qui nierait que nous connaissions des chiffres ?  ⁴Mais aℓors, ce n'est ℓà qu'une petite connaissance, bornée par tout ce qui se fera de notre activité.  

⁵Ainsi donc, presque tout nous sera inconnu, au sein d'un monde qui se présente comme infini.  ⁶Que si ℓ'orbe se referme et que nous sommes de nouveau encℓos dans une sphère finie, aℓors se présente tout de même ℓa Question, qui ne tient pas à ce que notre devenir se referme.  ⁷Ainsi, tout est vraiment infini, et ℓ'on ne sait presque rien.  

⁸Qu'on se rengorge donc du poℓygone à cinq côtés et des nombres de Fermat : mais, pour ℓ'essentieℓ, je ne sache pas qu'on aiℓℓe vraiment bien ℓoin.

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