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des formes de deuil











Sans l'Ancêtre, les choses avaient paru vidées d'elles-même, et l'on s'était retrouvé dans un système qui n'avait plus de centre.  On avait tenté, maladroitement, de combler ce vide, mais plus on s'y était essayé, plus la béance centrale se faisait manifeste...  

Sur le chemin qui menait à sa salle de mort, dans le silence froid de la mort, le mort, bouche ouverte et yeux creux, errances, trous, trônait dans sa majesté inattaquable, au-delà de toute sérénité.  Mais, je n'étais pas en état de m'approcher de lui.  

Alors, je me rappelle que je m'en voulais de ne pas l'avoir fréquenté plus souvent, quand cela m'était possible.  En même temps, je n'arrivais pas à m'en vouloir, car je savais que je n'avais pas eu l'occasion de le fréquenter aussi souvent que cela...  Mais alors, je m'en voulais de ne pas assez m'en vouloir...

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  [Œuvre d'Escape, 1990-2015 (achevée, présentée au monde), auteur initial : Escape, France].  
  Copyleft : cette œuvre est libre, vous pouvez la copier, la diffuser et la modifier selon les termes de la Licence Art Libre http://www.artlibre.org